POLITIQUE : TOUT SUR LE  MINISTRE CONSEILLER SPÉCIAL POLITIQUE DU POUVOIR IVOIRIEN 

CISSE Ibrahima Bacongo est un homme de conviction, d’engagement et de devoir, et déterminé dans tout ce qu’il entreprend, un homme d’une rare capacité d’adaptation à tout milieu et à toute circonstance.

On l’aime ou on le déteste, Bacongo ne laisse personne indifférent, y compris ceux qui ne le connaissent pas, qui ne l’ont jamais

rencontré, ni même pratiqué. L’homme a accompli toutes les missions qui lui ont été confiées avec la même conviction, la même détermination, le même engagement, la même foi et la même loyauté.

Né le 8 mars 1955 à Mankono, d’une fratrie de six (6) enfants repartie à égalité, entre 3 filles, 3 garçons, CIB, comme ses amis et fans l’appellent, est marié et père de sept (7) enfants, Rita, Laure, Isaac, Kevin, Fatim, Khaden et Roxanne.

Après des études primaires et secondaires effectuées respectivement, à Mankono et Katiola et un détour à l’enseignement primaire en tant

qu’instituteur Adjoint puis instituteur titulaire de 1975 à 1982, celui qui n’était qu’un jeune homme s’envole pour la France, le 17 octobre 1982, où il entamera des études supérieures à l’Université des Sciences Sociales (Arsenal) de Toulouse.

Ces études seront couronnées par plusieurs diplômes, dont les plus importants

et plus prestigieux, au plan académique, sont :

– Le Diplôme d’Etudes Approfondies (DEA) de Droit des affaires.

– – Le Diplôme d’Etudes Supérieures Spécialisées (DESS) de Droit des

affaires, option Internationale ;

– – Le Diplôme de Juriste Conseil d’Entreprise (DJCE) ;

– – Le Doctorat, thèse unique, de droit des Affaires, obtenu le 27 juin 1990.

Au plan professionnel, avec ses (ces) parchemins en poche, CISSE Ibrahima Bacongo intègre, en 1990, en tant que consultant permanent, le Cabinet Jeantet et Associés, Afrique, cabinet français, membre de « Alliance of European Lawyers », premier cabinet d’Avocats d’affaires d’Europe Continentale, où Il va collaborer jusqu’en 1993. Après le rachat de l’enseigne « Jeantet et Associés  » par le cabinet C2A, membre du réseau KPMG, l’un des cabinets de tout premier plan en Côte d’Ivoire et dans la sous-région Ouest

africaine, il intègre celui-ci en 1993,  y collabore jusqu’en 2005.

Parallèlement, il enseigne à l’Université de Cocody, de 1990 à 2001, comme Assistant puis chargé de cours de droit des Affaires ( Droit Commercial et Droit des Propretés Intellectuelles).

Au plan politique, Cissé Ibrahima Bacongo adhère, aux premières heures, au Rassemblement Des Républicains. Rapidement, il gravit les échelons en raison de son engagement attesté, notamment, par ses prises de position.

Membre du Bureau Politique du comité Central et du Secrétariat Général, il est nommé cumulativement, Directeur de Cabinet, l’unique, du Premier Secrétaire Général du RDR, Kouamé Georges Djeny Kobina, le Fama, Secrétaire National chargé des affaires Juridiques et Institutionnelles et Secrétaire National chargé de la communication, de 1995 à 2000.

Suite à son élection à la tête du parti, le président Alassane Ouattara le nomme à son cabinet, en qualité de Directeur de cabinet Adjoint, poste qu’il occupe, cumulativement, avec celui de Secrétaire National chargé des affaires Juridiques et Institutionnelles, de 2000 à 2005.

Outre les nombreuses contributions dans la presse écrite, qui le révèleront à l’opinion publique nationale et internationale et ses interventions sur les chaines de radios internationales et à la télévision nationale, il est le héros, avec le Juge Epiphane Zoro Ballo, de l’obtention du certificat de nationalité du président Alassane Ouattara et l’auteur du livre « Alassane Ouattara, une vie Singulière ».

C’est donc un militant convaincu, engagé et d’une loyauté à toute épreuve, que le Président Alassane Ouattara fait nommer au Gouvernement le 29 Décembre 2005, pour y rester jusqu’en 2015, en occupant les portefeuilles de Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique (le 29 Décembre 2005) et de Ministre de la Fonction Publique et de la Réforme Administrative (le 12 Mars 2014).

À l’Enseignement Supérieur et la Recherche Scientifique, il a conduit de mains de maître, après la crise post-électorale, les travaux de réhabilitation de l’ensemble des universités publiques et centres de recherche de Côte d’Ivoire, pour tenir le délai de la rentrée universitaire du 03 septembre 2012 baptisée « Départ nouveau ».

Ces travaux, qui ont rendu les structures d’enseignement Supérieur et de recherche scientifique en lieux fréquentables, ont valu à CISSE Ibrahima Bacongo d’être fait Grand-Croix de l’Ordre des Palmes Académiques par ses pairs des pays membres du CAMES. Dans l’histoire de cet organisme d’évaluation des Structures de Recherche et des Chercheurs africains, seuls

deux Présidents ont été élevés à cette distinction.

L’argumentaire avancé par ses pairs du CAMES, pour le distinguer, a été qu’à la sortie d’une crise aussi aigue, aucun autre pays n’aurait pu faire ce que la Côte d’Ivoire a réalisé dans le

domaine de l’Enseignement Supérieur, notamment, avec la quasi reconstruction des infrastructures universitaires et de recherche et les réformes académiques audacieuses mises en œuvre.

Au Ministère de la Fonction Publique et de la Réforme Administrative, où il a atterri en 2014, le goût du beau et de l’esthétique, l’ouverture d’esprit et le sens du dialogue et du compromis que l’on lui reconnait, volontiers, ont fait date. En effet, les locaux du Ministère, naguère un séjour d’ombre, ont été modernisés et radicalement transformés. A cet égard, il convient de rappeler

que pour CIB, « la réhabilitation morale des fonctionnaires, passe par l’amélioration de leurs conditions de travail, gage d’un bon rendement, à

travers la réhabilitation physique des infrastructures ».

Les syndicats des fonctionnaires, tout secteur confondu, étaient régulièrement reçus dans des locaux relookés accueillants et conviviaux, se prêtant à des discussions ouvertes, franches et sans tabous sur tous les sujets, dans le sens

de l’amélioration des conditions de travail et de vie des fonctionnaires. C’est avec CISSE Ibrahima Bacongo également qu’on a assisté à un regain de motivation auprès des agents du Ministère de la Fonction Publique.

La ponctualité, la célérité dans le traitement des dossiers, la gestion numérisée de la carrière des fonctionnaires, ont vite fait de placer ce Ministère, autrefois attaqué sur sa lourdeur ou encore la corruption, sur les sillons de l’émergence.

Le Ministère de la Fonction Publique était devenu une vraie administration à l’écoute des citoyens par l’interactivité qui existait désormais entre les usagers et le Cabinet du Ministre via l’outil informatique.

C’est à juste titre que ce Ministère, à travers sa Direction Générale de la Réforme Administrative et de l’Informatisation, s’est vu décerner le prix d’Excellence de la meilleure Administration Publique en 2015.

En février 2016 le ministre Cissé Ibrahima est nommé Conseiller Spécial du Président de la République, en charge des affaires juridiques, politiques et institutionnelles. A ce titre il prendra une part active en tant membre du comité

d’experts dans l’élaboration de la constitution actuelle.

Le 26 juillet 2018, le ministre Cissé Ibrahima Bacongo est nommé, Directeur de

Cabinet du Président du RHDP, Son Excellence Alassane Ouattara, avant d’occuper depuis le 11 mars 2019, le fauteuil de Ministre au près du Président de la République chargé des Affaires Politiques. Depuis le 26 juillet 2021, Ministre Conseiller Spécial chargé des affaires politiques .

Enfin, au plan de la politique locale, la commune de koumassi a élu CISSE Ibrahima Bacongo pour être son représentant à l’hémicycle, en tant que

député, d’abord en 2012, puis en 2016. À ce titre et bien qu’il ne soit pas le Maire Central, les actes qu’il a posés en faveur des populations, ne se comptent plus : Don d’ambulance médicalisée, réhabilitation des deux lycées municipaux qui étaient en ruine, réhabilitation de la grande mosquée, reconstruction de l’École Confessionnelle Sabil Nadja, contiguë à la grande

mosquée, travaux d’aménagement de la Paroisse Notre Dame de l’Assomption (NDA),

réhabilitation de l’EPP Mondon, reconstruction de l’école maternelle intégrée à cette école, etc.

 Autant d’actions, qui lui ont valu le surnom de

Bâtisseur pour certains et de Pragmatique pour d’autres. C’est à juste titre que les populations de Koumassi lui exprimeront leur suffrage lors des élections municipales d’octobre 2018.

Depuis le 13 décembre 2018, où il a effectivement pris fonction, le Maire Cissé Ibrahima Bacongo et son équipe municipale sont à pied d’œuvre pour faire de la commune de Koumassi la nouvelle vitrine d’Abidjan. Après seulement un an de mandat le maire Cissé Bacongo fait l’unanimité tant dans les hautes sphères politiques nationales qu’internationales sur sa gestion des affaires communales.

En effet, l’état cataclysmique en termes d’infrastructures et de salubrité de

Koumassi, commune restée pendant plus d’une décennie la risée de tout le District d’Abidjan et symbolisant le désastre urbain, est un lointain souvenir.

Grâce à la nouvelle équipe municipale en place depuis le 13 décembre 2018, avec à sa tête le Maire Cissé Ibrahima Bacongo, Koumassi est sur les sillons de la félicité.

En une année d’activités, tous les voyants sont au vert. Les quatre (4) prix glanés en seulement un an, en sont la parfaite illustration :

– Prix National d’Excellence de la Lutte contre le Désordre Urbain,

– Prix du Meilleur Administrateur Africain des Collectivités locales

– Prix de la Meilleure initiative individuelle en matière de propreté

– Prix Emergence Côte d’Ivoire du Meilleur Maire de Côte d’Ivoire, attribué par les journalistes.

– Double prix d’excellence du meilleur élu local et de la commune la plus propre 2021.

Ibrahima Bacongo CISSE reste donc une référence à titre transversale car son management n’incarne qu’une seule chose : LE LEADERSHIP. Sa politique municipale reussie reste donc une école pour plusieurs collectivités territoriales qui pourront s’en inspirer pour un développement à la base concret.