Les victimes quant à elles attendent toujours réparation. En 2017 la CPI avait ordonné des réparations collectives pour 425 victimes sous forme de la formation et de la création de l’emploi, ainsi qu’à travers la création de mémoriaux en Itouri. Mais sur les dix millions dollars initialement promis, à peine la moitié a été débloquée, même si le représentant de la CPI à Kinshasa se montre rassurant.
Aliou BAH pour GCO
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