En 48 heures un journaliste français expulsé et deux opposants au changement constitutionnel en faveur d’un troisième mandat pour le professeur Alpha Condé arrêtés. Assistons-nous à la confiscation de la liberté d’expression en Guinée ?
Tout porte à le croire, car ces derniers temps le pouvoir de Conakry passe par tous les moyens pour museler la contestation. Arrestations, kidnapings, interpellations et emprisonnements, sans  rappeler la disparition, les bastonnades et emprisonnements qui semblont devenus monnaie courante dans la capitale guinéenne et parfois même en province comme l’atteste le cas du représentant du FNDC à Macenta et président du mouvement Ezologa junior Kpakpataki.Résultat de recherche d'images pour "liberté de la presse"
Les derniers cas enregistrés sont l’expulsion du journaliste français Thomas Dietrich qui a reçu une accréditation quelques jours plutôt et l’arrestation du chargé des opérations du FNDC Ibrahim Diallo et  Sekou Koundouno chargé des stratégies, ces incarcérations témoignent des agissements des FDS qui parfois arrêtent des citoyens en violation flagrante de la procédure en la matière. Ils sont également accusés de brutalisation et de vole pendant leurs percussions.
Aux dernières nouvelles les avocats des deux membres du FNDC sont interdits de rentrer à la DPJ pour être en contact avec leurs clients.

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