Damantang Albert Camara le ministre de la sécurité a à travers une déclaration dédouané ses hommes et chargé les manifestants.
Selon le patron des flics guinéens, les unités mises en place par son département ne disposent pas d’armes à feu, c’est pourquoi dit – il qu’un policier a été lynché à Bambeto : « Dans tous les pays du monde, vous avez au moins dans chaque unité un agent qui a une arme à feu, qui reste en retrait, pour intervenir dans l’hypothèse ou dans la foule des manifestants, il y aurait une autre personne qui a une arme à feu, ou si un élément se trouvait en danger de mort, ça n’existe pas dans notre dispositif « , déclare le numéro  un de la police, avant d’argumenter sur les circonstances de la mort du policier qui a été tué par une foule de manifestants à Bambeto : « massacré à coups de machette et de barre de fer et déposé dans une poubelle! », a-t-il expliqué.
Damantang Albert Camara invite les accusateurs des forces de l’ordre à apporter les preuves de leur accusation, en invitant également les organisations internationales des droits de l’homme, à lui donner d’autres preuves pour établir sa conviction.
Pivi BILIVOGUI pour GCO
GCO Copyright © GuineeConakry.Online